Simon Ledru, Photographe Bretagne
Côtes d'Armor (22) | Ille-et-vilaine (35) | Morbihan (56) | Finistère (29)
« Les photographes s’occupent de choses qui disparaissent continuellement et quand elles ont disparu, rien sur terre ne peut les faire revenir. »
HENRI CARTIER-BRESSON
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Je suis originaire de Quimper, en Finistère, “là où la terre fini”. En bon photographe de Bretagne, je suis resté habité par ces paysages sauvages, grandioses et venteux sur la mer, et marqué par leur mystique épaisse et silencieuse.
Ma vocation de photographe
Photographe Côtes d'armor, Ille-et-Vilaine, Morbihan, Finistère
C’est en redécouvrant la passion pour la photographie de mon père disparu que j’ai trouvé ma propre vocation.
J’étais déjà un peu sur la voie car j’étais alors au milieu de 4 années d’études en cinéma à Rennes, où je vivais d’édifiantes expériences autour de la réalisation de films et forgeais mes goûts et influences artistiques.
Cette redécouverte a considérablement accru mon intérêt pour l’image, la technique photographique et particulièrement les procédés argentiques, en plus de donner un sens profond à mon parcours passé et une direction à mon avenir.
Je me suis véritablement lancé comme photographe professionnel en 2019, d’abord en indépendant à Rennes puis comme assistant photographe et imprimeur au sein d’un magasin photo. Je suis basé à Le Mené, jolie campagne entre Lamballe et Loudéac, à mi-chemin de Saint-Brieuc, Rennes et Saint-Malo et au carrefour des Côtes d’Armor, de l’Ille-et-Vilaine et du Morbihan.
Je suis un amoureux du cinéma et de la photographie mais aussi de l’art, du patrimoine et du Beau sous toutes ses formes ; à mes heures perdues, j’aime dessiner et peindre, bricoler et les promenades en Bretagne… toujours un appareil photo à la main. La photographie fait partie intégrante de ma vie.
Pourquoi la photographie de mariage & famille ?
Photographe Bretagne
Photographe : Konrad Jo Productions
J’ai tout de suite aimé être photographe de mariage, émerveillé devant cet événement à la fois touchant et profondément sacré, dont la joie est communicative. Je me suis tout de suite senti honoré d’être l’œil et la main chargés d’en saisir l’essence, la beauté et l’émotion, et privilégié d’accompagner les futurs mariés au cœur de cette journée grandiose.
Cela est devenu d’autant plus significatif pour moi depuis mon propre mariage, en 2023. Je connais la valeur de ce magnifique engagement, de ce pari fou et entier, de ce don solennel fait de joie et générosité. J’en saisi l’importance, l’exigence et la profondeur, et je crois sincèrement à la force de l’amour véritable et aux transcendances qu’il peut apporter dans nos vies et dans celles de notre entourage.
Aussi, je me réjouis d’accompagner de futurs mariés dans cette heureuse entreprise. Je suis photographe de mariage et un peu plus : également un partenaire à votre écoute avant, pendant et après ce grand et beau jour.
La photographie argentique
Photographe Ille-et-Vilaine, Morbihan, Côtes d'Armor, Finistère
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La photographie argentique est pour moi un plaisir immense. Le grain, les couleurs, la sensation de danger au moment du déclenchement, le frisson au moment du développement des pellicules, la fierté aussi de se servir de ses mains : tout y stimule la créativité. On y constate combien le photographe, et d’autant plus par le passé, est un technicien, un artisan armé de logique, de notions de chimie et de mathématiques en même temps que de sens artistique ! J’en aime également l’esprit : on ne photographie pas de la même manière avec un appareil argentique ou un appareil numérique. L’argentique, plus précieux car plus coûteux, nous porte à réfléchir davantage avant de prendre une photo, à travailler avec plus de soin ses images, à ne pas laisser passer le bon instant et à diminuer la mitraille que permet le numérique. On privilégie la qualité à la quantité. Cet exercice et cette discipline influence positivement mon regard de photographe et mon travail en numérique, qui est plus efficace et plus pointu.
J’ai découverts l’argentique en école de cinéma, auprès d’un ami cher qui m’y a initié. J’ai eu alors l’audace d’initier la réalisation d’un moyen-métrage fantastique, intégralement tourné sur pellicule, pellicule que nous développions nous-même. Ce film est toujours en cours aujourd’hui, et j’espère pouvoir un jour vous le montrer.
Aussi, je pars rarement en balade sans mon moyen-format Mamiya ou mon Canon A1. J’aime expérimenter, tester : double-expositions, effets, objectifs argentiques… Puis, je développe moi-même la plupart de mes pellicules.
Il m’arrive durant les mariages et les séances photos de me permettre quelques clichés en argentique !
